N'attendez pas la perfection de vos parents. Des parents parfaits ça n'existe pas… Ils font ce qu'ils peuvent…
Essayez de connaître l'histoire de leur vie,  ce qu'ils ont vécu est unique,  peut-être que vous les comprendrez

mieux et vous aurez un peu de compassion…
Rendez leur le bien que vous avez reçu d'eux, mais ne rendez pas le mal pour le mal !

Nous vivons au milieu des humains imparfaits et forcément, il y a des accrocs et des blessures.
Quelqu’un a dit: « Où il y a des hommes, il y a de l’hommerie ».
Si vous n’êtes pas capables de pardonner quelqu’un  c’est un véritable cancer pour vous.
Un coeur qui refuse de pardonner est une véritable tragédie.
Si vous êtes prêt à pardonner ceux qui vous ont offensé, c’est alors que vous serez libre de l’esclavage de l’amertume.

Une étude faite par des médecins a démontré que les maladies sont à 90% psychosomatiques.
C'est-à-dire que pour la majorité de nos maladies, elles sont véritables, mais elles ont pris naissance dû à des problèmes non réglés. Les biologistes ont confirmé que notre système immunitaire est inéfficace s'il est affecté par une forte tension nerveuse. L'amertume détruit la personne.
Un cancer qui infecte nos vies et contamine les autres.
Sans vous en rendre compte, c'est votre vie que vous contaminez et blessez.

Les chemins du pardon….
Oui, il en faut du cran pour oser regarder notre vie en face, pour oser nous exposer nus, vulnérables au miroir de la vérité, pour choisir de nettoyer les zones d'ombre enfouies sous les décombres de notre déni, de notre colère ou de notre honte. Conscients de l'enjeu incomparable de cette démarche empruntée par si peu, nous voici prêts à nous immerger dans l'océan de nos mémoires afin de lever tous les obstacles à notre liberté d'être, à notre pacification, à notre quête de bonheur.
Il est un temps pour réclamer de ceux qui nous ont meurtri le corps, le cœur ou l'âme,  prise de conscience et reconnaissance de la faute.
Il est un temps aussi pour les rendre libres de leur dette.
Il est un temps pour reconnaître sans complaisance ni culpabilité nos manquements envers autrui, envers l'amour,  un temps pour mater notre entêtement et nos refus de pardonner.

Qui d'entre nous, au pire de sa souffrance, n'a pas haï la main qui le broyait ?
Qui d'entre nous, au creuset de l'horreur, n'a pas maudit ceux qui le torturaient, l'humiliaient ou lui déchiraient le cœur ?
Qui d'entre nous, se découvrant trahi, utilisé, berné ou bafoué, n'a pas levé en son cœur une armée de haine et construit, au plus profond de ses entrailles, une impitoyable machine de guerre au terrible parfum de vengeance ?

Quel funeste combat menons-nous encore aujourd'hui, en croyant faire justice au nom de tous les nôtres ?
Quand avons-nous, la mort dans l'âme mais hurlant de douleur, juré que l'on ne nous y reprendrait plus ?
Qu'avons-nous enfoui que nous ne nous pardonnons pas à nous-mêmes ? ....

Qui tenons-nous pour responsables de nos échecs ?
Qui sont ces fantômes de notre passé coupables d'empêcher injustement notre bonheur ?
Quel fardeau, dans notre lignée familiale, écrase aujourd'hui encore ce pauvre héros en nous, fatigué de lutter ?

.....  pour tout remettre à neuf….
Si notre âme ne chante pas chaque matin le bonheur d'être vivant, si notre vie n'est pas encore ce qu'elle devrait être, il y a sûrement, caché quelque part, un pardon à demander ou à offrir…

...... besoin de puissance et douceur, protection et humilité, clairvoyance et bonté,  afin d'escorter nos âmes blessées ou rebelles à pacifier l'impossible, à libérer ceux que nous retenons encore en otages, à pardonner même ce que nous ne pourrons jamais oublier, à confier à la Vie ceux qui fuient,  ceux qui semblent échapper impunément à la justice des hommes ;  à croire envers et contre toute apparence à un "Ordre des choses" qui nous dépasse et où il sera donné à chacun selon son cœur…

..... préparation à cette libération profonde ..........  Avance sans crainte,  explore tous les espaces de ton être,  garde les yeux grands ouverts quoique tu voies,  embrasse ton remords au lieu de le fuir, c'est ici que tout se joue,  c'est par lui que tu renais à la vie… 

Ta douleur efface ta faute...…

Source : "Janvier 2010 -  C. Desraumeux"

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Source  :  http://www.coachingkeytoadd.com/stories/fr-women.html 

Problèmes spécifiquement féminins avec TDAH inattentif.

Une occupation infernale.

Hélène n'était pas une bonne élève. Elle semblait toujours inattentive - un peu perdue, elle a tout de même réussi à entrer au collège mais elle n'a pas pu suivre. Elle aimait les enfants et pensait que la vie de famille lui conviendrait bien. Lorsque Jean l'a demandée en mariage, elle était très heureuse, il était charmant et ils étaient très amoureux. Que pouvait donc une femme espérer de mieux ?

Au début, il y avait beaucoup à faire pour installer la nouvelle maison, apprendre la cuisine et fréquenter des amis. Deux enfants arrivèrent, proches l'un de l'autre. Hélène commençait à se sentir mal à l'aise : la lessive, le repassage, la cuisine et les nettoyages jour après jour. Elle se sentait fatiguée la plupart du temps. Elle devait souvent s'asseoir, prendre une tasse de café et se forcer à faire la prochaine corvée. A la fin de la journée, il restait toujours du travail inachevé.

Son amie Betty avait aussi deux enfants et elle travaillait à l'extérieur. Hélène ne comprenait pas comment Betty pouvait avoir un travail, s'occuper de son ménage et de ses enfants et avoir encore de l'énergie. Hélène ne se sentait bien que lorsqu'elle arrivait à s'échapper dans une sorte de rêve diurne qui continuait dans sa tête. Elle pensait qu'elle pourrait écrire une nouvelle mais ne savait pas où trouver le temps et l'énergie.

Un jour Jean se mit en colère parce qu'il trouvait la maison complètement en désordre en rentrant du travail. Il pensa que ça irait mieux si elle sortait un peu plus, se trouvait un emploi.

Elle trouva un emploi à temps partiel en tant qu'assistante de bureau mais elle découvrit rapidement que ça ne lui convenait pas. Les gens l'appelaient: "Hélène viens ici…" "Hélène va là…". Elle était complètement dépassée.

Jean insista pour qu'elle consulte un médecin, il pensait qu'elle était dépressive.

Le médecin diagnostiqua une dépression, au premier abord, et lui prescrivit des antidépresseurs. Au début, ça avait l'air de marcher, Hélène se sentait moins triste, elle montrait un plus de joie de vivre, mais elle avait toujours de la peine à gérer ses journées.

Le médecin réexamina la situation et il diagnostiqua un déficit d'attention inattentif. Il proposa alors un médicament stimulant. Hélène s'inquiéta et demanda si le médicament n'était pas une drogue engendrant une dépendance. Le médecin lui expliqua que la partie de son cerveau qui jouait le rôle du manager, qui était responsable des décisions et de l'action, n'était pas assez active. Un stimulant lui aiderait à retrouver ses capacités, et, dans les doses prescrites, il n'y avait pas de risque de dépendance, il arrivait même assez souvent que les patient oublient de le prendre.

Avec le stimulant, Hélène se sentit revivre, elle se sentait beaucoup mieux, et surtout, elle arrivait à faire toutes ses corvées en quelques heures le matin. Elle commença même à s'occuper de divers projets qu'elle avait abandonné.

Il manquait tout de même encore quelque chose, une question à propos d'elle-même, qui était-elle? Elle pensait de nouveau à écrire sa nouvelle mais elle ne croyait pas assez en elle-même pour oser commencer. Cette fois, le médecin proposa un accompagnement coaching TDAH. Il expliqua que le médicament aidait le cerveau à mieux fonctionner mais qu'elle devait redécouvrir ce qu'elle avait envie de faire, ce qu'elle était capable de faire et qui elle était. Un coach lui aiderait dans cette démarche.

Son TDAH coach lui aida à découvrir la richesse de son imagination qui n'était pas juste un moyen d'échapper à la réalité. Elle lui aida aussi à organiser sa vie de manière à trouver du temps pour écrire.

Six mois plus tard, Hélène publia sa première nouvelle

Appréciez vos talents !

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   Le plus ancien instrument à anche libre semble être un instrument chinois datant du IIIe millénaire avant Jésus-Christ, le m'buat, lequel se jouait au souffle. Cet instrument pouvait déjà se jouer comme l'harmonica de nos jours soit en soufflant, soit en aspirant.

  Encore appelé Marine Band, Blues Harp, 10 trous, Sandwich en ferraille, ruine-babines, biscuit en fer blanc, Mississipi saxophone, harmonica Français, piano de poche, etc...  il existe de nombreux styles, modèles, de nombreuses marques d'harmonica, et dans toutes les tonalités.

   Pour connaître davantage de choses passionnantes sur cet instrument, et pour visionner la vidéo concernant son histoire, parmi de nombreux sites il y a  :   http://harmopoint.com/ 

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Durée 12 mn
Film court métrage de Jorge Furtado
Brésil, 1989
Scénario :  Jorge Furtado
Avec Júlia Barth, Paulo José, Ciça Reckziegel

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Ce grand film de 12 minutes a largement mérité son avalanche de prix.

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. . . " Douze minutes d’une formidable évidence. Douze minutes qui suffisent
pour mettre en branle les rouages indéfectibles du commerce mondial.
Douze minutes d'images agrémentées de commentaires d'un humour implacable."

. . . .  " des élucubrations moins innocentes qu'elles n'y paraissent
(l'invention de la monnaie), pour simplement dévoiler les aberrations d'un
système commercial mondialisant qui se prétend parfait et porteur de richesses.
Outil de réflexion sur les dérapages qui apparaissent dans une société lorsque
l'être humain n'est plus prioritaire. "

. . . . " pourquoi l’intelligence se permet-elle de coexister avec la misère, la faim,
la cupidité, la crasse, l’inhumanité.  Pourquoi l’effort humain pour vivre heureux
est-il ainsi quotidiennement gâché...." 

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1ère partie :
http://www.youtube.com/watch?v=fdRZazSBm74&NR=1

2ème partie :
http://www.youtube.com/watch?v=fPitImwwuBM&feature=related

Site YOUTUBE

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Source  :  http://www.correspondants.org/le_revoir.shtml

Quand un sujet prend des anxiolytiques ... il ne rêve presque plus.
Ces "psychotropes" bloquent la production des rêves pour que l'on se sente mieux.
En revanche,  quand on arrête de les prendre le cerveau  "rattrape"  les nuits de rêves
manquantes. Le nombre de rêves est alors décuplé. Etonnant, n'est-ce pas ?

Pourtant,  à y regarder de près, le rêve est une  "machine"  anti stress très efficace.
Votre cerveau utilise le rêve comme un  "nettoyeur"  de l'âme.
Ce qui explique que lorsque vous rêvez beaucoup, c'est que vous subissez une période
de grandes tensions psychologiques.

Soyez vigilant quand vous rêvez beaucoup ! C'est le meilleur "SIGNAL" que votre cerveau
vous envoie pour vous dire  : "Attention !!!   Tu te surmènes sans doute de trop !"

Les rêves prennent votre  "température émotionnelle".

En prenant des notes sur un carnet de vos rêves, vous observez la  "quantité"  de rêves produits.
Beaucoup de scénarios différents en une seule nuit, révèlent que vous avez besoin de "souffler".
Dès que leurs nombres diminuent vous savez que vous reprenez votre contrôle émotionnel.

Vos rêves sont donc là pour vous avertir que vous pouvez vivre un  "burn out".
Vos rêves vous libèrent des tensions et du stress.

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La société, la famille, les amis, .... exigent de nous la perfection...
Il faut être beau, riche, en bonne santé, performant, dynamique, avoir beaucoup de qualités
et aucun défaut,  etc... Foutaise !!

On ne peut pas tous être identiques. Il faut de la diversité. La perfection n'existera JAMAIS
dans ce monde.  Alors,,  que tous ces gens qui exigent de nous la perfection,,  se regardent
dans le miroir !

Croyez-moi on peut être heureux sans pour autant être parfait ! D'autre part personne n'a
à nous juger, ni à exiger que nous soyons parfaits. D'où vient cette aberration, cette folie !

Dommage que le monde ne soit pas divisé en deux  :
deux parties complètement  séparées,  où il y aurait  :
-  ceux qui aiment ce système existant basé sur le pouvoir, l'argent, la rentabilité, etc....
et qui ne profitent qu'aux riches,
-  et ceux qui rêvent d'un autre monde plus beau, plus juste, où le système monétaire
n'existerait pas,,  où existerait un autre système d'échange, de partage,  un monde de
créateurs, d'artistes, d'entrepreneurs, .... qui respecteraient la nature, l'écologie,
les  VRAIES  valeurs humaines,...
Un monde sans jugement sur l'apparence physique des individus, sur leur caractère,
leurs capacités, leur façon d'être...  UN MONDE SANS RIVALITE,  SANS COMPETITION !! .....

Dans ce monde là les humains seraient beaucoup plus heureux :
moins de maladies et autres problèmes dûs à notre société décadente, hyper matérialiste
et injuste.
C'est le système monétaire, le système de rentabilité, de surconsommation, d'exigence à
la performance dans le travail et beaucoup d'autres domaines..... qui crée le mal-être, 
l'angoisse, les maladies, les injustices, la misère, l'agressivité,  la révolte....
C'est à cause de ce système que certains peuvent profiter de tout alors que d'autres ne font
que survivre. La loi de la jungle !  Quelle ABERRATION !!

La planète n'est-elle pas faite pour tous les êtres qui y vivent ?! Chaque être humain devrait
avoir le droit d' être heureux et de profiter de toutes les beautés et ressources de notre planète.
On pourrait être heureux sans toutes ces foutaises de la société actuelle.

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Dessin de Bickel

Dessin de Bickel

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On entend souvent dire  :
"Si j'avais ceci, si j'avais cela, je serais heureux".
Et l'on prend l'habitude de croire que le bonheur réside dans le futur et ne vit qu'en conditions exceptionnelles.
Le bonheur habite le présent, et le plus quotidien des présents.
Il faut dire  :  "malgré ceci et malgré cela, je suis heureux".

Jean Giono

L'humilité ne consiste pas à se considérer comme inférieur, mais à être affranchi de l'importance de soi. C'est un état de simplicité naturelle qui est en harmonie avec notre nature véritable et permet de goûter la fraîcheur de l'instant présent. L'humilité est une manière d'être, non de paraître.

Matthieu Ricard

Ne nous plaignons jamais en pensant que le destin s’acharne sur nous,  et ne nous imaginons pas non plus qu’avec une vie facile, lisse, nous serions plus heureux.  Avec une vie facile, lisse, nous stagnerions.  Si nous voulons avancer,  nous rendre utile, nous devons considérer les choses autrement. Interrogeons la nature et nous verrons les réponses qu’elle nous donnera.
Supposons que nous voulons faire l’ascension d’une montagne. Est-ce que nous pourrons atteindre le sommet si cette montagne est lisse ? Non, nous ne pourrons nous accrocher nulle part et nous allons glisser.  C’est grâce aux aspérités que nous arrivons à nous hisser jusqu’en haut.       L' "Intelligence cosmique"  a laissé partout dans l’univers des indices, des signes pour nous aider à trouver le chemin, pour nous montrer comment avancer, comment travailler. Mais ceux qui n’ont jamais appris à les déchiffrer ne découvrent rien, ils se contentent de subir et de se plaindre."

Omraam Mikhael Aivanhov

Un jour, un vieux professeur de l'École Nationale d'Administration Publique (ENAP),
fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps,
à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines.

Ce cours constituait l'un des 5 ateliers de leur journée de formation.
Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "faire passer sa matière".

Debout, devant ce groupe d'élite  (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait
lui enseigner),  le vieux prof les regarda un par un,  lentement,  puis leur dit  :
"Nous allons réaliser une expérience".

De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot de verre
de plus de 4 litres qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine
de cailloux a peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un,
dans le grand pot.  Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter
un caillou de plus,  il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda  :

-  Est-ce que ce pot est plein ?  Tous répondirent  :  oui

Il attendit quelques secondes et ajouta  :  vraiment ?

Alors il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier.
Avec minutie il versa ce gravier sur les gros cailloux, puis brassa légèrement le pot.
Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux  jusqu'au fond du pot.

Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et réitéra sa question  :

-  Est-ce que ce pot est plein ?
                                                                                                                                                                                                                                         Cette fois,  ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège.

L'un d'eux répondit  :  probablement pas  !  Bien !   répondit le vieux prof.

Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table un sac de sable.
Avec attention il versa le sable dans le pot.  Le sable alla remplir les espaces entre
les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il redemanda  : 

-  Est-ce que ce pot est plein ?

Cette fois,  sans hésiter et en choeur,  les brillants élèves répondirent  :  non !
Bien !   répondît le vieux prof.

Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le  pichet d'eau qui était sur la table
et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda  :

-  Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?

Pas fou, le plus audacieux des élèves,  songeant au sujet de ce cours, répondît  : 

Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli,
si on le veut vraiment,  on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire.

Non   répondît le vieux prof.   "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante  :
Si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous ensuite.

Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.
Le vieux prof leur dit alors  : 

-   Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?   Votre santé ?   Votre famille ?   Vos amis ?
     Réaliser vos rêves  ?   Faire ce que vous aimez ?   Apprendre ?  Défendre une cause ? 
     Prendre le temps... ?    Ou.....  tout autre chose ?

Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses  "GROS CAILLOUX"  en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas  réussir....  sa vie.  Si on donne priorité aux peccadilles  (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie.
Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question  :

Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?   Ensuite mettez-les en premier dans votre pot (votre vie).

D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et quitta lentement la salle.

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